Il pleut à Doha. Une femme de la Hongrie vient de se réveiller. Sa maman lui a rendu visite inattendue dans son rêve. Il n'y a plus besoin de visa -dit-elle joyeusement ... Je peux venir à tout moment quand je veux vous voir .. .
C'était juste un rêve ... sentiments d'amertume -, mais la pluie ,la pluie bénie c' est vrai ... Il est réconfortant. Il se sent comme à la maison. Il se sent comme l'enfance. Assis dans la véranda de la grand-mère bien protégé de la pluie en profitant de l'air frais et de regarder comment tout est lavé dans le jardin. Les rêves, l'odeur du blé et de maïs de l'office les flaques d'eau dans les rues de Doha. Tout se mélange.
Un homme hongrois en Bolivie est jugé à huis clos, un homme hongrois qui a cru que l'on doit lutter contre les dictatures . Ses amis ont été abattus dans leurs rêves dans leur chambre d'hôtel. Sa vie a été épargnée, et maintenant il est jugé sans témoins.
Il pleut. Il est réconfortant en quelque sorte ...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire